J'ai passé les mois de janvier et février 2015 au Costa Rica. Grâce aux petites auberges et aux hostels j'ai été assez mobile, ce qui m'a permis de séjourner aux endroits suivants: Puerto Viejo, Cahuita, Limon, San Jose, Santa Teresa, Montezuma, Puntarenas, Quepos, Tilaran, Monteverde, Liberia et Heredia. Il m'a aussi été possible de visiter d'autres endroits tout en m'hébergeant dans ces villes.
Le Costa Rica est une destination très variée aux conditions climatiques qui changent d'une région à l'autre. Ainsi la saison des pluies de Puerto Viejo de Talamanca sévit au début de janvier comme j'ai pu m'en rendre compte. Ainsi j'ai pris l'autobus à Monteverde le matin alors qu'il faisait 15 degrés et je suis arrivé dans l'après-midi à Liberia avec 32 degrés. Dans les hautes montagnes il faut s'attendre aux grands vents qui n'ont toutefois réussi qu'à me décoiffer. Quelque soit l'endroit ou l'on se trouve, il y a toujours à quelques kilomètres une forêt dense avec ses animaux, oiseaux et insectes.
Les costariciens sont des gens généralement gentils et aimables et bien sûr se sont ajustés au coût de la vie qui est assez élevé, sauf pour quelques éléments comme le transport collectif.
Le réseau routier est généralement bon mais dans certaines régions il est en terre avec beaucoup de trous. La route transaméricaine(No.1) est de bonne qualité et passe par de nombreuses villes du Nord au Sud rejoignant à ses extrémités le Nicaragua et le Panama. Les nombreux services d'autobus offre des services ponctuels et fiables. Il n'y a malheureusement par de coordination entre les services et il y a multiplications des terminus.
Il n'y a pas véritablement de région dangereuses pour mettre votre sécurité en danger même si toutefois on rapporte des vols en quantité limitée. Les mêmes règles de prudence que dans les autres pays s'appliquent.
Savoir parler et comprendre l'espagnol est un atout pour le voyageur dans de nombreuses circonstances. Quand tout va bien, le costaricien rajoute toujours «PURA VIDA» à ses réponses. C'est un slogan qui signifie que la vie au Costa Rica se passe dans un environnement «PUR».
Chaque région a son festival annuel qui prend différentes formes. Ainsi, à Libéria il y a un défilé composé majoritairement de «cowboys», il y a des spectacles, des kiosques de nourriture et un genre de rodéo ou tout le monde peut risquer sa vie en provoquant les tauros. On nous a rapporté qu'il y a eu des morts à ces différentes activités.
Les belles plages sont en grand nombre et favorisent la pratique de divers sports comme le «SURF» la plongée et la pêche. De nombreux endroits sont reliés par bateau-taxis.
On dénombre une vingtaines de volcans actifs et inactifs avec une grande quantité de parcs nationaux qui en surveillent l'état et qui organisent des sentiers balisés autour des cratères et des endroits comme les fumerolles. Près des volcans on trouve des endroits pour se baigner dans les eaux thermales à diverses températures et les prix d'accès sont généralement raisonnables. L'entrée dans les parcs nationaux est généralement de 15$ pour les touristes et environ 2$ pour les locaux. J'ai visité quatre volcans: Arénal, Rincon de la Vieja, Miravalles et Poas.
Une chose qui surprend le visiteur c'est la dénivellation entre la rue et le trottoir qui peut atteindre jusqu'à six pieds. La continuité des trottoirs est souvent manquante de sorte que vous faites 300 mètres sur le trottoir et 200 dans la rue. Quand un costaricien vous renseigne, il vous dit: tu fais 150 mètres tout droit et tu tournes à gauche pour 300 mètres et tu es rendu.
Il y a une innombrable quantité de musées dans tout le pays. La majorité valent le coup d'être vus. Cependant, les pris d'entrée sont parfois exagérés.
Je demeure disponible pour répondre à vos questions et dans ce blog je vais passé en revue chacune des destinations déja mentionnées. Les opinions émises n'engagent que moi.
Le Costa Rica est une destination très variée aux conditions climatiques qui changent d'une région à l'autre. Ainsi la saison des pluies de Puerto Viejo de Talamanca sévit au début de janvier comme j'ai pu m'en rendre compte. Ainsi j'ai pris l'autobus à Monteverde le matin alors qu'il faisait 15 degrés et je suis arrivé dans l'après-midi à Liberia avec 32 degrés. Dans les hautes montagnes il faut s'attendre aux grands vents qui n'ont toutefois réussi qu'à me décoiffer. Quelque soit l'endroit ou l'on se trouve, il y a toujours à quelques kilomètres une forêt dense avec ses animaux, oiseaux et insectes.
Les costariciens sont des gens généralement gentils et aimables et bien sûr se sont ajustés au coût de la vie qui est assez élevé, sauf pour quelques éléments comme le transport collectif.
Le réseau routier est généralement bon mais dans certaines régions il est en terre avec beaucoup de trous. La route transaméricaine(No.1) est de bonne qualité et passe par de nombreuses villes du Nord au Sud rejoignant à ses extrémités le Nicaragua et le Panama. Les nombreux services d'autobus offre des services ponctuels et fiables. Il n'y a malheureusement par de coordination entre les services et il y a multiplications des terminus.
Il n'y a pas véritablement de région dangereuses pour mettre votre sécurité en danger même si toutefois on rapporte des vols en quantité limitée. Les mêmes règles de prudence que dans les autres pays s'appliquent.
Savoir parler et comprendre l'espagnol est un atout pour le voyageur dans de nombreuses circonstances. Quand tout va bien, le costaricien rajoute toujours «PURA VIDA» à ses réponses. C'est un slogan qui signifie que la vie au Costa Rica se passe dans un environnement «PUR».
Chaque région a son festival annuel qui prend différentes formes. Ainsi, à Libéria il y a un défilé composé majoritairement de «cowboys», il y a des spectacles, des kiosques de nourriture et un genre de rodéo ou tout le monde peut risquer sa vie en provoquant les tauros. On nous a rapporté qu'il y a eu des morts à ces différentes activités.
Les belles plages sont en grand nombre et favorisent la pratique de divers sports comme le «SURF» la plongée et la pêche. De nombreux endroits sont reliés par bateau-taxis.
On dénombre une vingtaines de volcans actifs et inactifs avec une grande quantité de parcs nationaux qui en surveillent l'état et qui organisent des sentiers balisés autour des cratères et des endroits comme les fumerolles. Près des volcans on trouve des endroits pour se baigner dans les eaux thermales à diverses températures et les prix d'accès sont généralement raisonnables. L'entrée dans les parcs nationaux est généralement de 15$ pour les touristes et environ 2$ pour les locaux. J'ai visité quatre volcans: Arénal, Rincon de la Vieja, Miravalles et Poas.
Une chose qui surprend le visiteur c'est la dénivellation entre la rue et le trottoir qui peut atteindre jusqu'à six pieds. La continuité des trottoirs est souvent manquante de sorte que vous faites 300 mètres sur le trottoir et 200 dans la rue. Quand un costaricien vous renseigne, il vous dit: tu fais 150 mètres tout droit et tu tournes à gauche pour 300 mètres et tu es rendu.
Il y a une innombrable quantité de musées dans tout le pays. La majorité valent le coup d'être vus. Cependant, les pris d'entrée sont parfois exagérés.
Je demeure disponible pour répondre à vos questions et dans ce blog je vais passé en revue chacune des destinations déja mentionnées. Les opinions émises n'engagent que moi.
